Parmi nos clients, nombreux sont ceux qui souhaitent se lancer, mais sont à la recherche d’éclairage pour
définir une ligne directrice adaptée à leur entreprise.
La RSE est une démarche d’amélioration continue. Il ne faut pas chercher à être parfait dès la première année ! La simplicité permet de lever les principaux freins… et d’accélérer.
Le manque d’engagement
La gouvernance est le moteur du changement structurel. Si les dirigeants ne sont pas à l’origine de la
démarche, il faut leur expliquer de manière claire les enjeux de la RSE et ses avantages afin que ceux-ci leur accordent leur soutien sincère. L’immobilisme des dirigeants réduit la RSE à des actions ponctuelles.
Quels indicateurs ESG choisir ?
La question de la mesure de l’impact social et environnemental de leurs activités se pose rapidement. Or, c’est le nerf de la guerre. Sans données fiables et suivies : pas de RSE efficace !
Si l’entreprise n’est pas soumise à une obligation réglementaire, elle est libre de choisir le support, ses propres indicateurs en fonction de ses priorités.
Elle peut aussi choisir de se référer à des normes reconnues (ISO 26000, ODD de l’ONU, Global Reporting Initiative…), à des labels généraux (ex : Lucie ou Engagé RSE) ou spécifiques à un secteur d’activité.
Coût et complexité de la mise en œuvre
La RSE est un investissement long terme pour assurer un monde viable demain et pouvoir continuer son activité professionnelle en respectant la planète et l’Homme. Des investissements lourds tant humains que financiers sont nécessaires pour repenser son modèle d’affaires et entamer des premières démarches. Les régions, les CCI, la BPI apportent des aides financières, un accompagnement humain et des expertises spécifiques.
L’alignement des objectifs de la RSE avec les objectifs commerciaux
Objectifs commerciaux et objectifs écologiques et sociaux sont encore perçus comme concurrents.
Une stratégie RSE performante aura résolu cette fausse opposition : soit parce que les indicateurs choisis participeront à la croissance de l’entreprise (économie circulaire…), soit parce que l’entreprise aura compris son avantage (anticipation des risques, attractivité, engagement, pérennité…) et considérera la RSE comme un investissement au service de sa performance future par des pratiques durables.