Les kiosques à burgers débarquent !

Arnaud Nivaggioli, cofondateur de l’enseigne Les burgers de Lucien revient sur son aventure entrepreneuriale. Après la création d’un réseau de plus de 500 points de vente, ce passionné s’est lancé dans un tout nouveau projet culinaire et familial.

 

Pouvez-vous nous expliquer la genèse de cette entreprise et son évolution jusqu’à aujourd’hui ?

Il y a plus d’un an, nous nous lancions en famille dans la deuxième aventure la plus folle de notre vie : Les burgers de Lucien.

Mes associés qui sont par ailleurs, mes beaux-parents, ont fondé l'enseigne le kiosque à pizza. Une référence dans le secteur, avec plus de 500 points de vente en France. Vendue il y a maintenant un an, nous avons décidé de nous réunir en famille pour monter un nouveau projet autour de la restauration… toujours avec le système de kiosques !

Nous avons choisi le nom Lucien, car c’est le prénom du grand-père de deux de mes associés. Artisan de métier, nous voulions lui rendre hommage et faire ressortir ce petit côté terroir que nous avons tous en nous. 

Quelques mois plus tard, nous avons ouvert notre premier kiosque à Rebais en Seine-et-Marne. Le succès était au rendez-vous ; nos clients furent séduits dès le premier burger, que nous cuisinons d’ailleurs à partir de produits frais et locaux. 

Nos kiosques colorés vont se situer dans des villes petites et moyennes -  2000 à 10 000 habitants -  pour que chacun puisse enfin dire "On commande à manger ce soir ?". Nous allons là où les grandes enseignes ne vont pas forcément, en se démarquant par la qualité des produits frais.

En parlant de produits, nous avons fait le choix d’un approvisionnement local et français. Pour vous donner quelques exemples, la viande est élevée dans l’Aisne (02), les frites fraîches sont réalisées en Seine-et-Marne (77) et notre sauce secrète dans le Loiret (45). 

De nombreux kiosques vont bientôt ouvrir avant la fin de l’année. Et je tiens à préciser que ce n’est pas une franchise ! Nous avons mis en place un système gagnant-gagnant avec nos adhérents. 

D’ailleurs, nos adhérents gagnent mieux leur vie, et cela s’explique en partie par l'absence de royalties.  De manière plus globale, notre modèle économique est basé sur des faibles charges fixes car nous ne voulions pas impacter le bilan de nos adhérents avec des frais supplémentaires.

En fait, nous souhaitons leur offrir les avantages de la franchise sans les inconvénients.

Notre objectif est de conseiller, former, accompagner les adhérents Burgers de Lucien dans leur développement. C’est très important pour nous d’être là pour eux, car ils sont les véritables acteurs de ce projet. 

 

Comment avez-vous connu Fideliance ? 

Pour la petite histoire,  je suis issu d'une famille de comptables. Mon grand-père, ma grand-mère, ma cousine, ma tante, ma mère. Ils sont tous comptables, experts-comptables ou commissaires aux comptes. Donc aujourd'hui le choix du comptable était plus que primordial pour moi. Je ne voulais pas que ce soit ma famille qui gère la comptabilité, il y a une déontologie qui ne nous le permet pas. 

Il a donc fallu trouver un cabinet et mon choix s’est porté sur Fideliance à La-Ferté-Sous-Jouarre. Aujourd’hui cela fait plus 7 ans qu’ils nous accompagnent. 

L’idée de changer de cabinet ne nous a jamais traversé l’esprit, nous sommes très contents du service de Fideliance, à tous les niveaux. 

 

Que vous apporte Fideliance au quotidien ?

Ce que je recherche avec Fideliance, c’est bien plus qu'un comptable. À mes débuts, je souhaitais un partenaire et c’est ce que m’apporte ce cabinet.  Aujourd’hui, je ne fais pas la moindre action sans les avoir consultés, ça m’offre un panel de services absolument génial.

Si nous avons pu créer tout ça, c’est aussi grâce à leur accompagnement dans nos choix et nos directives... C'était vraiment important pour nous qu’ils soient présents sur ce projet. 

La personne chargée de notre projet chez Fideliance connaît absolument toute notre histoire. Pour chaque investissement, elle me donne son avis et contacte les banques avec moi. C'est important car nous sommes très sentimentaux donc tant que ça se passe bien, nous sommes ravis. 

 

Quels sont les projets de développement de votre société à court et à moyen terme ? 

Pour l’instant nous avons ouvert notre premier kiosque, huit arrivent d’ici la fin de l'année et une vingtaine l’année prochaine. Nous visons les 100 d’ici 5 ans !